Charles Beigbeder a publié un texte dans L’Opinion dans lequel il raconte son parcours entrepreneurial et les risques qu’il a pris.
Quitter, à l’âge de 30 ans, le confort londonien d’une banque d’affaires de la City pour créer un courtier sur internet au pays du Minitel glorieux face à l’oligopole des agents de change et des banques de l’époque. Récidiver en s’attaquant cette fois à la forteresse EDF, à la veille de l’ouverture du marché de l’énergie à la concurrence. Faire irruption dans le club très privé du private equity en proposant des fonds propres low cost aux entreprises familiales. Autant de défis fous, fidèle à la devise paradoxale de Latécoère – « les calculs de mes ingénieurs sont formels, c’est impossible. Il ne nous reste plus qu’à le faire ».
Et aujourd’hui, miser sur les technologies quantiques. Les succès éclatants de la relativité générale et de la mécanique quantique ont nourri tout le XXe siècle en applications technologiques et industrielles majeures. Du transistor au laser, de la fission atomique au GPS, c’est toute notre électronique moderne, bref toute notre vie matérielle que cette double révolution scientifique et technologique a discrètement fécondée depuis bientôt un siècle.
Lire la suite sur le site de L’Opinion.